Environnement spécifique ou limite d'altitude : quelle priorité ? Régulation ou ouverture de marchés : quel choix faites vous ?


Jouons à un scénario... un monde complexe dans lequel, par une sorte de jeu de contrepoids, on devrait choisir entre :

a) escalade outdoor intégralement milieu spécifique. DE intégral+ petits diplômes à côté, limités à la sae, avec des contraintes en nombre d'heures sur un année, en effectif, etc. MAIS la limite d'altitude reste, au moins pour l'instant.

b) la limite d'altitude pète mais la situation côté diplômes et environnement spécifique n'avance pas.

Quel serait votre positionnement?

Choisir une priorité entre 2 dossiers majeurs et a priori imbriqués est difficile. Cependant dans la situation actuelle, nous pensons que la question ne se pose pas comme ça. En effet:

 1/ Certes le contour actuel de l'environnement spécifique n'est pas idéal (toute l'escalade n'est pas dedans), mais le ministère a réaffirmé à plusieurs reprises sa volonté de ne pas y toucher.

2/ Les travaux de la filière sont quasiment à l'arrêt depuis ce début d'été, de part l’impossibilité de trouver un terrain d'entente avec la fédération. De fait, nous pensons qu'aujourd'hui il y a une occasion de traiter ces 2 sujets (altitude puis filière) de manière décorrélée.

Mon scenario, qui se veut pure hypothèse, vraisemblable mais pas vraie a pur but de savoir si par reflexe vous croyez avec plus de ferveur dans des "ouvertures avantageuses de nouveaux marchés" (faire péter la limite) ou dans des mesures de protection/régulation/barrières l'entrée...

Pour répondre à ta question reformulée sur un plan plus « idéologique », tu noteras que notre programme préconise ou milite bien plus souvent en faveur de la régulation et de solutions publiques qu'en faveur de l’ouverture des marchés.

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